...

Qu'est ce que je regarde, a quoi je pense, a quoi j'aspire..

Toc TOc. Il est encore tôt dans cette vie de chien, mais jai déjà beaucoup marché.

Je croise le regard, le parfum, les formes, j'attend plus mais je n'y crois pas.

Mon coeur a déjà prit sa dose de raclées, il en a même repris, trop.

J'ouvre les bras, y'a plus qu'un bout d'amour qui tient le coup.

Si tu le prend et que tu pars avec, je n'aurais plus rien.

Si tu le prends, donnes-moi donc un bout du tien.

Je sais, je sais pas, je sais, je sais pas ..

Toi là, tu veux pas m'aider ? Dis quelque chose.

Qu'est ce que je fais ?

Moi qui detestais cet endroit je commence a y voir autre chose que mon calvaire ambiant.

Je veux Paris, mais je veux aussi Lille.

La dualité se réveille,sur pas mal de plans, et c'est encore pire qu'avant.

POURQUOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII .... ( cri du coeur, pas loin d'exploser... )

Percute.

Oublie.

Change.

Deteste.

Mord.

Aime.

Choisi.

Répondeur : je ne suis pas là pour le moment, mais vous pouvez me laisser des messages, je les lirais plus tard ..... * BIP *

Tout ce que je ne peux pas dire à voix haute je le dis à mi-voix, sans le dire vraiment. La parole ecrite et non lue est silencieuse...

Quelque chose d'étrange se passe, un phénomène qui ne m'est toutefois pas étranger. Je le connais bien maintenant car il m'a fréquenté suffisament fort pour que je me souvienne. Je veux qu'il s'en aille mais comme d'habitude ilk n'en fait qu'à sa tête. Il perturbe mon sommeil déjà très perturbé et quand je ne dors pas il me fait rêver hors de la nuit... J'avais besoin de tout ça mais je n'avais vraiment pas besoin de ça. J'ai l'impression d'être l'organe géant qui ne vit que pour les sensations fortes que l'humain crée chez l'humain. Je ne sais pas passer au travers alors malgré moi je subis, parfois même je survis. Et en ce moment c'est à peine si je tiens debout. Le cul entre deux chaises, les opposés s'entrechoquent violemment et ne me laissent aucun répit.

Comme si celà ne suffisait pas, le fait d'être coincé dans un corps qui ne me correspond pas et de devoir faire face tous les jours rend beaucoup de choses encore plus incertaines. Il y a des questions qui reviennent sans cesse..

[...]

Peu importe qui elle est et qui elle sera, j'ai la force nécessaire en moi et le vécu  pour accepter tout ce que quelqu'un peut être.

C'est pas comme si je cherchais à combler à tout prix le vide d'une présence à mes côtés; on se croise, on se parle, on s'amuse et puis on finit par se rendre compte que le jeu peut très vite dériver... On a beau le savoir, rien n'empêche de tenter le diable et de se laisser tenter par lui.

Mon corps recommence à me brûler fort.

De quoi tu rêves, à quoi je pense, à quoi tu aspires... Je suis vraiment un dingue.

La suite plus tard, on m'attend au CGL ...

Partagé entre l'amour et la haine, le coma et la vie, le désespoir et l'envie, la volonté de m'en sortir ou de me laisser aller, je suis déchiré, meurtri, où se trouve donc la lumière...

Mon corps me nargue, mon esprit me largue, mon coeur s'embrouille, tout part en vrille là-dedans, je n'avais qu'une parole pour tenir mes promesses mais je ne suis plus sûr de rien à présent...

Merveilleuse, pleine de vie, expressive au possible, déjantée. Le vide dans son coeur elle le cache plutôt bien. Elle est un peu perdue mais elle finira bien par se retrouver. Le déclic vient toujours au moment où on l'attend le moins. Je m'interesse à ce qu'elle pense, à ce qu'elle peut bien faire, même si je ne sais pas grand chose au fond, c'est comme ça, je ne cherche pas plus loin.

On me propose peut-être du boulot, un contrat de trois mois, j'ai rendez-vous demain matin pour un entretient, j'aimerai bien que ça marche cette histoire, parce que j'ai quelques idées en tête... et que j'ai besoin de fric, mais ça, c'est une évidence.

C'est un peu comme prendre un trip sans rien prendre, ça fait planer, rêver un peu, mais comme dans chaque trip il faut faire attention à la descente qui peut être violente...

Je suis un vrai dingue.

Non mais sans rire, je le pense, tu le pense, il le pense, etc... ça se décline plutôt bien alors,c'est que c'est surement vrai...

Hmmmmmmmmm ..

Petit délire. Cara avec des dingues comme moi, ça donne des trucs du genre :

une fille: je m'appelle nathan mdr

moi: tu t'appelle nathan et tu fais partie d'un boyz band, tu fumes des vogues et tu te travestis le lundi mdr

la fille : pas que le lundi et je fume des roulées :D

moi : rho t'es naze toi faut fumer des vogues t'auras le style :p

Et ça peut durer longtemps Ôo.

Pour bien faire il faut bien commencer.

J'ai passé un long et bon moment ce week-end.

17h-7h du mat, et tu as eu le chic pour me faire oublier que j'avais mal. Une vraie diablesse. Une magicienne. J'suis monté dans mon train le coeur serré, parce que paris me manque, mes potes me manquent, plein de choses me manquent... Parce qu'ici j'ai plus rien, j'ai tout perdu pour me retrouver encore dans une sale galère...

Une seule occasion et je remonte.

Et finis les coups ou je me casse loin de ma vie pour une nana.

Je vais me perdre dans mes songes, retourner dans ma bulle, dire merde a celles et ceux qui voudront que j'en sorte. Ca m'a trop couté d'écouter.

Une petite pensée pour toi et ta ptite bande, parce que vous le valez bien ... ;)